
En outre, des intérêts nationaux divergents expliquent en partie la difficulté de parvenir à un accord sur les réglementations commerciales régionales. Le CORAF reconnaît que le développement de technologies n’est qu’un aspect de la solution. C’est pourquoi une partie de son travail consiste à faciliter la circulation des biens et services agricoles au-delà des frontières.
Ce faisant, des intrants agricoles de haute qualité sont disponibles là où ils sont nécessaires, et les pays et les communautés des deux régions peuvent tirer parti d’un marché substantiel qui compte environ 414 millions de personnes.
News connexes
Selon un nouveau rapport, les secteurs ouest-africains du coton, du maïs, de l’élevage, de l’aquaculture et de la volaille sont...
Grâce au Programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO), un jeune togolais a considérablement transformé sa situation personnelle...
La fortune des deux frères guinéens a changé de manière substantielle ces trois dernières années, grâce en partie aux innovations...
Experts
Explorer d'autres points clés
